Ce vendredi, la visite du président de la République, Bassirou Diomaye Diakhar Faye, a conféré à cette clôture une dimension hautement symbolique. Dans une atmosphère empreinte d’émotion, le chef de l’État a salué la portée de l’œuvre, rendant hommage à la jeunesse sénégalaise, aux victimes des violences politiques et à la force morale d’une nation debout.
L’artiste Abdou Karim Ndoye, visiblement ému, a rappelé que « l’art peut réparer, relier et redonner sens », soulignant le rôle de la création artistique comme outil de guérison collective et de dialogue social.
Composée de portraits, d’ombres et de lumières, l’exposition interroge la mémoire collective et incite à transformer la douleur en énergie constructive. Entre les émotions des visiteurs et la sérénité retrouvée, Première Ligne aura permis de tisser un lien entre blessure et espérance.
Soutenu par une équipe artistique et technique engagée — Khady Kassé (scénographe), Muriel Kla (directrice artistique), Badara Preira (photographe) et Mamoune Ka (vidéaste) —, le projet s’est affirmé comme une œuvre citoyenne et collaborative, illustrant la capacité de la culture à réunir, apaiser et transformer.
L’artiste Abdou Karim Ndoye, visiblement ému, a rappelé que « l’art peut réparer, relier et redonner sens », soulignant le rôle de la création artistique comme outil de guérison collective et de dialogue social.
Composée de portraits, d’ombres et de lumières, l’exposition interroge la mémoire collective et incite à transformer la douleur en énergie constructive. Entre les émotions des visiteurs et la sérénité retrouvée, Première Ligne aura permis de tisser un lien entre blessure et espérance.
Soutenu par une équipe artistique et technique engagée — Khady Kassé (scénographe), Muriel Kla (directrice artistique), Badara Preira (photographe) et Mamoune Ka (vidéaste) —, le projet s’est affirmé comme une œuvre citoyenne et collaborative, illustrant la capacité de la culture à réunir, apaiser et transformer.