Le foncier, principale source de préoccupation
Cette mission de terrain, organisée après la remise du rapport annuel au Président de la République, s’inscrit dans une démarche de proximité avec les citoyens.
« Après la remise du rapport, j’ai le devoir de revenir vers les populations, pour rendre compte, mais aussi pour écouter, recueillir leurs doléances », a expliqué M. Kandji.
Les échanges ont fait ressortir que la majorité des plaintes portent sur les questions foncières, un enjeu particulièrement sensible dans cette région marquée par des décennies de conflit.
Ces problématiques foncières constituent un obstacle majeur au développement local et à la réconciliation des communautés.
La question des déplacés au cœur des préoccupations
Les discussions ont également mis en lumière les défis liés au retour et à la réinstallation des populations déplacées suite à la crise casamançaise.
Le Médiateur a reconnu que la région a traversé des « événements douloureux » qui continuent d’impacter la vie des communautés.
Il a toutefois salué les efforts des autorités, citant notamment le « Plan Diomaye pour la Casamance », un programme doté de 22 mesures et d’un budget de 53,6 milliards de FCFA pour accélérer le développement de cette zone longtemps marginalisée.
Des infrastructures routières à réhabiliter
Au-delà des questions foncières et de réinstallation, le Médiateur a insisté sur l’urgence de réhabiliter les infrastructures routières de la région, qualifiées de « voies de développement » essentielles pour dynamiser l’économie locale et améliorer les conditions de vie des populations.
Cette mission s’inscrit dans la politique de décentralisation des services de médiation, permettant aux citoyens des régions les plus éloignées d’accéder plus facilement à ces mécanismes de résolution des conflits administratifs.
La visite du Médiateur de la République à Ziguinchor témoigne de la volonté des institutions de maintenir un dialogue permanent avec les populations, particulièrement dans les zones ayant connu des difficultés particulières.
Cette mission de terrain, organisée après la remise du rapport annuel au Président de la République, s’inscrit dans une démarche de proximité avec les citoyens.
« Après la remise du rapport, j’ai le devoir de revenir vers les populations, pour rendre compte, mais aussi pour écouter, recueillir leurs doléances », a expliqué M. Kandji.
Les échanges ont fait ressortir que la majorité des plaintes portent sur les questions foncières, un enjeu particulièrement sensible dans cette région marquée par des décennies de conflit.
Ces problématiques foncières constituent un obstacle majeur au développement local et à la réconciliation des communautés.
La question des déplacés au cœur des préoccupations
Les discussions ont également mis en lumière les défis liés au retour et à la réinstallation des populations déplacées suite à la crise casamançaise.
Le Médiateur a reconnu que la région a traversé des « événements douloureux » qui continuent d’impacter la vie des communautés.
Il a toutefois salué les efforts des autorités, citant notamment le « Plan Diomaye pour la Casamance », un programme doté de 22 mesures et d’un budget de 53,6 milliards de FCFA pour accélérer le développement de cette zone longtemps marginalisée.
Des infrastructures routières à réhabiliter
Au-delà des questions foncières et de réinstallation, le Médiateur a insisté sur l’urgence de réhabiliter les infrastructures routières de la région, qualifiées de « voies de développement » essentielles pour dynamiser l’économie locale et améliorer les conditions de vie des populations.
Cette mission s’inscrit dans la politique de décentralisation des services de médiation, permettant aux citoyens des régions les plus éloignées d’accéder plus facilement à ces mécanismes de résolution des conflits administratifs.
La visite du Médiateur de la République à Ziguinchor témoigne de la volonté des institutions de maintenir un dialogue permanent avec les populations, particulièrement dans les zones ayant connu des difficultés particulières.