La lutte contre les arnaques numériques s’intensifie en France. La Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) a annoncé avoir bloqué 80 sites internet frauduleux depuis le début de l’année 2025. Ce chiffre dépasse déjà presque le total enregistré en 2024, qui s’élevait à 87 sur l’ensemble de l’année.
Des méthodes d’arnaque toujours plus sophistiquées
Les contrôles menés par la DGCCRF révèlent des pratiques trompeuses de plus en plus variées : fausses promotions, produits inexistants, usurpation d’identité de professionnels ou partenariats fictifs. Dans le secteur du dépannage à domicile, particulièrement visé, des sites comme serrurerieexpress.com ou depann24.net ont été neutralisés et redirigent désormais vers une page officielle d’information.
Le commerce en ligne n’est pas épargné. Des plateformes comme tout-materiel.com ou 123elecfr.com promettaient des produits indisponibles, créant de fausses attentes pour piéger les consommateurs.
Trois leviers d’action : blocage, restriction et déréférencement
Depuis 2020, la législation française permet à l’État de réagir rapidement grâce à trois outils :
- le blocage complet de l’accès à un site,
- la restriction, qui redirige vers une page officielle,
- le déréférencement, qui fait disparaître le site des moteurs de recherche.
- Ces mesures visent à limiter les préjudices et à protéger les consommateurs.
- Les secteurs les plus ciblés par les fraudeurs
Outre le dépannage, d’autres domaines restent fortement exposés :
- la vente en ligne de mode, avec des sites comme charlotte-lyon.fr ou boutiquelison.fr,
- les fausses plateformes d’aides publiques, telles que vosdroitsformation.fr ou moncompte-cpf.com, qui exploitent la méconnaissance des citoyens pour les escroquer.
Une ambition gouvernementale claire
Pour Véronique Louwagie, ministre déléguée au Commerce, cette multiplication des blocages traduit la volonté de l’État de garantir en ligne les mêmes règles de protection qu’en magasin. La liste complète des sites bloqués est disponible sur le site du ministère de l’Économie.
Des méthodes d’arnaque toujours plus sophistiquées
Les contrôles menés par la DGCCRF révèlent des pratiques trompeuses de plus en plus variées : fausses promotions, produits inexistants, usurpation d’identité de professionnels ou partenariats fictifs. Dans le secteur du dépannage à domicile, particulièrement visé, des sites comme serrurerieexpress.com ou depann24.net ont été neutralisés et redirigent désormais vers une page officielle d’information.
Le commerce en ligne n’est pas épargné. Des plateformes comme tout-materiel.com ou 123elecfr.com promettaient des produits indisponibles, créant de fausses attentes pour piéger les consommateurs.
Trois leviers d’action : blocage, restriction et déréférencement
Depuis 2020, la législation française permet à l’État de réagir rapidement grâce à trois outils :
- le blocage complet de l’accès à un site,
- la restriction, qui redirige vers une page officielle,
- le déréférencement, qui fait disparaître le site des moteurs de recherche.
- Ces mesures visent à limiter les préjudices et à protéger les consommateurs.
- Les secteurs les plus ciblés par les fraudeurs
Outre le dépannage, d’autres domaines restent fortement exposés :
- la vente en ligne de mode, avec des sites comme charlotte-lyon.fr ou boutiquelison.fr,
- les fausses plateformes d’aides publiques, telles que vosdroitsformation.fr ou moncompte-cpf.com, qui exploitent la méconnaissance des citoyens pour les escroquer.
Une ambition gouvernementale claire
Pour Véronique Louwagie, ministre déléguée au Commerce, cette multiplication des blocages traduit la volonté de l’État de garantir en ligne les mêmes règles de protection qu’en magasin. La liste complète des sites bloqués est disponible sur le site du ministère de l’Économie.