Un nouvel incident médical a secoué le Pavillon spécial dans la nuit de mercredi à jeudi. Farba Ngom, maire des Agnam et membre de l’Alliance pour la République (APR), a été victime d’un grave malaise qui a nécessité son évacuation immédiate vers l’hôpital Principal de Dakar.
Selon son avocat, Me Baboucar Cissé, l’intervention s’est déroulée dans l’urgence afin d’éviter des complications graves. D’après L’Observateur, plusieurs expertises médicales, dont celles de trois professeurs de médecine mandatés par la Justice, ont déjà conclu que son état de santé est incompatible avec une détention. L’un des rapports a même alerté sur un risque de « mort subite nocturne potentielle ».
La situation met en exergue les limites du Pavillon spécial, structure rattachée à l’hôpital Le Dantec, actuellement en rénovation. Faute de conditions optimales et de salles adaptées, de nombreux détenus malades y sont exposés à des évacuations fréquentes et à des risques médicaux accrus.
Bien que Farba Ngom ait été réacheminé au Pavillon spécial après avoir reçu les premiers soins, ses proches redoutent de nouvelles complications. Cet épisode ravive le débat sensible sur la détention médicale au Sénégal, entre impératifs de justice et droit fondamental à la santé.
Selon son avocat, Me Baboucar Cissé, l’intervention s’est déroulée dans l’urgence afin d’éviter des complications graves. D’après L’Observateur, plusieurs expertises médicales, dont celles de trois professeurs de médecine mandatés par la Justice, ont déjà conclu que son état de santé est incompatible avec une détention. L’un des rapports a même alerté sur un risque de « mort subite nocturne potentielle ».
La situation met en exergue les limites du Pavillon spécial, structure rattachée à l’hôpital Le Dantec, actuellement en rénovation. Faute de conditions optimales et de salles adaptées, de nombreux détenus malades y sont exposés à des évacuations fréquentes et à des risques médicaux accrus.
Bien que Farba Ngom ait été réacheminé au Pavillon spécial après avoir reçu les premiers soins, ses proches redoutent de nouvelles complications. Cet épisode ravive le débat sensible sur la détention médicale au Sénégal, entre impératifs de justice et droit fondamental à la santé.