Le gouvernement a engagé une démarche de correction et de transparence auprès du Fonds monétaire international (FMI). Ce nouvel environnement de négociation vise à revenir sous le seuil prudentiel de l’UEMOA fixé à 70 % du PIB, à moyen terme.
Pour 2026, les besoins de financement atteignent 6 075 milliards FCFA, largement portés par l’amortissement de la dette. L’État prévoit de recourir davantage au marché financier régional pour « rouler » une partie de ses échéances.
Des efforts sont également annoncés pour réduire la dette fournisseurs, notamment dans les BTP et la gestion des déchets, secteurs fortement fragilisés par les retards de paiement.
Une bataille de crédibilité internationale s’engage : « restaurer la confiance des partenaires et du marché », dit le ministre Abdourahmane Sarr.
Pour 2026, les besoins de financement atteignent 6 075 milliards FCFA, largement portés par l’amortissement de la dette. L’État prévoit de recourir davantage au marché financier régional pour « rouler » une partie de ses échéances.
Des efforts sont également annoncés pour réduire la dette fournisseurs, notamment dans les BTP et la gestion des déchets, secteurs fortement fragilisés par les retards de paiement.
Une bataille de crédibilité internationale s’engage : « restaurer la confiance des partenaires et du marché », dit le ministre Abdourahmane Sarr.