Face à la presse, Birahim Seck n’a pas mâché ses mots :
« Le régime de Pastef a tort, et il continue de faire des erreurs. Le Parti Pastef pense qu’il est encore dans l’opposition. Ils veulent intimider les Sénégalais et les faire taire. Ils se trompent. »
Dénonçant ce qu’il considère comme une tentative d’intimidation, il a rappelé que les libertés d’expression et de critique sont des piliers de toute démocratie.
« Les Sénégalais qui ont porté ce régime au pouvoir ne sont pas dupes. La critique ne doit pas être confisquée, même quand elle dérange. »
Birahim Seck estime que le gouvernement doit recentrer ses priorités sur les préoccupations réelles des citoyens, notamment la crise économique et les défis financiers que traverse le pays :
« Le peuple attend des solutions concrètes à ses problèmes, pas des règlements de comptes politiques ou des débats autour d’une personne. »
À travers son intervention, le coordinateur du Forum Civil rejette toute instrumentalisation de la justice et appelle le régime à plus de responsabilité dans sa gestion des libertés publiques.