Le ministre s’exprimait ce jeudi à Ziguinchor, lors d’un Comité interrégional de développement (CRD) spécial, réunissant autorités administratives, élus locaux, chefs de village et représentants des populations rapatriées.
« Le Plan Diomaye pour la Casamance marche très bien, même s’il reste du chemin. Ce n’est pas un plan figé, il est souple, adaptable et surtout efficace », a-t-il déclaré.
Une dynamique à renforcer
Le Général Tine a rappelé que la Casamance est une priorité stratégique pour l’État, et a insisté sur la nécessité de renforcer les moyens alloués aux comités de pilotage locaux afin de maintenir le rythme d’exécution.
Une vigilance sur les risques climatiques
Abordant la question de la saison des pluies, le ministre a également exhorté les autorités locales à une meilleure préparation face aux crues, rappelant que l’année 2024 avait connu des événements climatiques majeurs, heureusement sans pertes humaines.
Ce point d’étape du Plan Diomaye s’inscrit dans une volonté de développement intégré et durable de la région naturelle de Casamance, longtemps marquée par des tensions socio-politiques.