📚 Répartition des fonds : étudiants, universités et infrastructures
Le programme « Éducation supérieure » absorbe 166,9 milliards FCFA, soit plus de la moitié du budget du ministère.
Les transferts courants (fonctionnement des universités publiques) représentent 124,5 milliards FCFA.
Les investissements de l’État (modernisation des infrastructures pédagogiques) s’élèvent à 36 milliards FCFA.
Le poste relatif aux œuvres sociales universitaires reçoit 134,7 milliards FCFA. Cette enveloppe couvre les bourses, la restauration, l’hébergement, et l’amélioration du cadre de vie des étudiants — un effort jugé « inédit » : entre septembre 2024 et octobre 2025, l’État a déjà débloqué 98 milliards FCFA pour le paiement des bourses.
Le programme « Pilotage, coordination et gestion administrative », destiné au fonctionnement du ministère, est doté de 6,48 milliards FCFA.
🔬 Recherche & innovation : un programme identifié mais encore modeste
Pour la première fois depuis plusieurs années, un programme dédié à la recherche et à l’innovation est clairement structuré. Il reçoit 8,22 milliards FCFA, dont près de 3,2 milliards FCFA pour les investissements.
Malgré cette avancée, certains députés ont critiqué la faiblesse des crédits consacrés à ce secteur pourtant central pour le développement.
👨🏫 Développement du capital humain et extension des universités
Le MESRI confirme le recrutement de 500 nouveaux enseignants-chercheurs, une mesure qualifiée d’historique pour améliorer le taux d’encadrement.
Par ailleurs, les travaux des nouvelles universités — notamment dans la zone du Sénégal oriental et l’université Souleymane Niang de Matam — sont prévus pour être livrés fin 2026, sous réserve de l’achèvement complet des infrastructures pédagogiques et sociales.
🔄 Ajustement budgétaire et contexte
Bien que certains députés aient exprimé des craintes quant à une éventuelle baisse du budget, le ministère des Finances a expliqué qu’il s’agissait d’un recalibrage technique. En effet, environ 35 milliards FCFA ont été transférés au ministère des Infrastructures, ce qui, après ajustement, correspond à une hausse réelle de 28 milliards FCFA par rapport à 2025 — une progression notable.
Le programme « Éducation supérieure » absorbe 166,9 milliards FCFA, soit plus de la moitié du budget du ministère.
Les transferts courants (fonctionnement des universités publiques) représentent 124,5 milliards FCFA.
Les investissements de l’État (modernisation des infrastructures pédagogiques) s’élèvent à 36 milliards FCFA.
Le poste relatif aux œuvres sociales universitaires reçoit 134,7 milliards FCFA. Cette enveloppe couvre les bourses, la restauration, l’hébergement, et l’amélioration du cadre de vie des étudiants — un effort jugé « inédit » : entre septembre 2024 et octobre 2025, l’État a déjà débloqué 98 milliards FCFA pour le paiement des bourses.
Le programme « Pilotage, coordination et gestion administrative », destiné au fonctionnement du ministère, est doté de 6,48 milliards FCFA.
🔬 Recherche & innovation : un programme identifié mais encore modeste
Pour la première fois depuis plusieurs années, un programme dédié à la recherche et à l’innovation est clairement structuré. Il reçoit 8,22 milliards FCFA, dont près de 3,2 milliards FCFA pour les investissements.
Malgré cette avancée, certains députés ont critiqué la faiblesse des crédits consacrés à ce secteur pourtant central pour le développement.
👨🏫 Développement du capital humain et extension des universités
Le MESRI confirme le recrutement de 500 nouveaux enseignants-chercheurs, une mesure qualifiée d’historique pour améliorer le taux d’encadrement.
Par ailleurs, les travaux des nouvelles universités — notamment dans la zone du Sénégal oriental et l’université Souleymane Niang de Matam — sont prévus pour être livrés fin 2026, sous réserve de l’achèvement complet des infrastructures pédagogiques et sociales.
🔄 Ajustement budgétaire et contexte
Bien que certains députés aient exprimé des craintes quant à une éventuelle baisse du budget, le ministère des Finances a expliqué qu’il s’agissait d’un recalibrage technique. En effet, environ 35 milliards FCFA ont été transférés au ministère des Infrastructures, ce qui, après ajustement, correspond à une hausse réelle de 28 milliards FCFA par rapport à 2025 — une progression notable.