Dakar – La Commission des Finances et du Contrôle budgétaire de l’Assemblée nationale a examiné, le 6 novembre 2025, le Projet de Loi de Finances initiale pour l’année 2026. Un budget présenté par les ministres Cheikh Diba (Finances et Budget) et Abdourahmane Sarr (Économie), qui affirme l’ambition du gouvernement de restaurer les équilibres macroéconomiques tout en soutenant la souveraineté économique du Sénégal.
Le budget 2026, qualifié de « redressement, de justice et de restauration de la confiance », prévoit 6 188,8 milliards FCFA de recettes et 7 433,9 milliards FCFA de dépenses. Le déficit budgétaire devrait être ramené à 5,37 % du PIB, contre plus de 12 % en 2024.
Ce budget s’articule aussi autour du Plan de Redressement économique et social (PRES), qui devra générer plus de 760 milliards FCFA grâce à des ressources internes telles que la régularisation foncière, les taxes sur les jeux, le mobile money, l’alcool ou encore le tabac.
Pour 2026, l’exécutif mise sur une croissance de 5 % portée par l’agriculture, les services et la tenue des Jeux olympiques de la Jeunesse à Dakar.
Une réforme budgétaire « qui doit améliorer directement la vie des citoyens », selon le ministre des Finances.
Le budget 2026, qualifié de « redressement, de justice et de restauration de la confiance », prévoit 6 188,8 milliards FCFA de recettes et 7 433,9 milliards FCFA de dépenses. Le déficit budgétaire devrait être ramené à 5,37 % du PIB, contre plus de 12 % en 2024.
Ce budget s’articule aussi autour du Plan de Redressement économique et social (PRES), qui devra générer plus de 760 milliards FCFA grâce à des ressources internes telles que la régularisation foncière, les taxes sur les jeux, le mobile money, l’alcool ou encore le tabac.
Pour 2026, l’exécutif mise sur une croissance de 5 % portée par l’agriculture, les services et la tenue des Jeux olympiques de la Jeunesse à Dakar.
Une réforme budgétaire « qui doit améliorer directement la vie des citoyens », selon le ministre des Finances.