Cette année, le thème retenu est :
« Tous UNiS pour mettre fin à la violence numérique à l’égard des femmes et des filles ».
La campagne se déroulera jusqu’au 10 décembre, date marquant la Journée internationale des droits humains.
La violence numérique : une menace invisible mais destructrice
Selon un communiqué officiel diffusé pour cette journée, la violence numérique – allant du harcèlement en ligne à la diffusion non consentie d’images intimes, en passant par la désinformation sexiste, les menaces et l’usurpation d’identité – constitue une “entrave majeure à l’égalité, au développement et à la paix sociale”.
Bien que ces violences se déroulent derrière des écrans, elles génèrent des conséquences réelles et profondes :
Traumatisme psychologique
Atteintes à la dignité et à la réputation
Insécurité numérique permanente
Auto-censure dans les espaces publics et professionnels
Ce phénomène limite considérablement la participation des femmes à la vie politique, médiatique, économique et civique.
Des chiffres alarmants
Les Nations Unies rappellent que :
60% des femmes connectées à travers le monde ont subi des abus ou agressions en ligne
90 à 95% des vidéos “deepfake” non consenties ciblent des femmes
Au Sénégal, les femmes influentes sur les réseaux et les jeunes sont les premières victimes
Vers une mobilisation collective
Les représentantes internationales insistent sur la nécessité de renforcer les réponses contre ce fléau :
Mise en œuvre et application rigoureuse des lois
Responsabilisation accrue des plateformes numériques
Accès facilité à la justice pour les survivantes
Développement de compétences en éducation numérique inclusive
Mobilisation des hommes et des garçons pour déconstruire les normes sociales sexistes
« La lutte contre la violence est une responsabilité collective », ont-elles déclaré, réaffirmant une solidarité totale avec les survivantes.
Elles appellent ainsi les institutions, les communautés et chaque citoyen à adopter une politique de tolérance zéro envers toute forme de violence numérique à l’égard des femmes.
📌 Un combat pour la dignité, la liberté et l’égalité — en ligne comme hors ligne.
« Tous UNiS pour mettre fin à la violence numérique à l’égard des femmes et des filles ».
La campagne se déroulera jusqu’au 10 décembre, date marquant la Journée internationale des droits humains.
La violence numérique : une menace invisible mais destructrice
Selon un communiqué officiel diffusé pour cette journée, la violence numérique – allant du harcèlement en ligne à la diffusion non consentie d’images intimes, en passant par la désinformation sexiste, les menaces et l’usurpation d’identité – constitue une “entrave majeure à l’égalité, au développement et à la paix sociale”.
Bien que ces violences se déroulent derrière des écrans, elles génèrent des conséquences réelles et profondes :
Traumatisme psychologique
Atteintes à la dignité et à la réputation
Insécurité numérique permanente
Auto-censure dans les espaces publics et professionnels
Ce phénomène limite considérablement la participation des femmes à la vie politique, médiatique, économique et civique.
Des chiffres alarmants
Les Nations Unies rappellent que :
60% des femmes connectées à travers le monde ont subi des abus ou agressions en ligne
90 à 95% des vidéos “deepfake” non consenties ciblent des femmes
Au Sénégal, les femmes influentes sur les réseaux et les jeunes sont les premières victimes
Vers une mobilisation collective
Les représentantes internationales insistent sur la nécessité de renforcer les réponses contre ce fléau :
Mise en œuvre et application rigoureuse des lois
Responsabilisation accrue des plateformes numériques
Accès facilité à la justice pour les survivantes
Développement de compétences en éducation numérique inclusive
Mobilisation des hommes et des garçons pour déconstruire les normes sociales sexistes
« La lutte contre la violence est une responsabilité collective », ont-elles déclaré, réaffirmant une solidarité totale avec les survivantes.
Elles appellent ainsi les institutions, les communautés et chaque citoyen à adopter une politique de tolérance zéro envers toute forme de violence numérique à l’égard des femmes.
📌 Un combat pour la dignité, la liberté et l’égalité — en ligne comme hors ligne.